En 1978, je suis devenu le plus jeune docteur d’État en France pour avoir soutenu une thèse de 666 pages appelée SÉMIOPRAXIE DE L’HYPERSIGNE.
Les professeurs qui constituaient mon jury ont tout tenté pour que je ne puisse pas soutenir ma thèse. Ils m’ont même fait promettre de ne jamais enseigner puis m’ont décrété docteur en se pinçant le nez.
Puis j’ai enseigné toute ma vie …
Mais pour gagner ma vie j’ai dû travailler dans le domaine où la Sémiopraxie (sémiotique appliquée) aurait une utilité : le marketing.
Pour convaincre les gens de marketing, mais aussi les créatifs prêts à en découdre avec un binoclard intello, j’ai travaillé à construire une boîte à outils simple, claire et efficace.
Cette boîte à outil m’a servi pendant des années, d’abord sur des études réalisées en France, puis, plus tard, pendant des années dans de nombreux projets internationaux pour mieux comprendre les systèmes de signes opérant à l’intérieur de diverses cultures.
Ces outils sont présentés dans un document publié il y a 25 ans. L’exposé a un peu pris la poussière, mais il peut toujours servir …
À propos, l’hypersigne, c’est un signe dont le signifiant et le signifié peuvent varier indépendamment l’un de l’autre et à grande vitesse …















































































Une réflexion au sujet de « Sémiotique appliquée »